n°29 rue Gaston de Saporta (Place de l’Université)
Hôtel construit du début du XVIIème siècle par Jean d’Estienne, époux de Jeanne Leblanc.
n°29 rue Gaston de Saporta (Place de l’Université)
Hôtel construit du début du XVIIème siècle par Jean d’Estienne, époux de Jeanne Leblanc.
n°25 rue Gaston de Saporta (Place de l’Université )
Le fronton allégorique, dû au ciseau d’Hyppolite Ferrat, a été placé en 1883.
Paul Cézanne s’y inscrit le 16 décembre 1858.
Ou d’Estienne du Bourguet
L’hôtel a été depuis 1490 dans la famille des Maynier d’Oppède, qui de 1507 à 1671 a donné au Parlement quatre premiers présidents sur vingt-deux, dont Jean de Maynier qui fit exécuter au XVIème siècle l’arrêt de Mérindol. L’hôtel a été acheté et rebâti en 1730 par les Thomassin de Saint Paul, parlementaires.
Faculté des Lettres de 1846 à 1950, l’hôtel abrite aujourd’hui divers instituts de recherche et d’études.
Les Estienne de Saint-Jean possédaient à cet emplacement, depuis la fin du XVIème siècle, une vieille demeure. Au siècle suivant, pendant la Ligue, François d’Estienne demeura fidèle à Henri III et Henri IV et fur proscrit d’Aix par les Liguers. La demeure passa alors dans une famille de parlementaires, les Martigny, héritiers du nom et de la fortune des Estienne. C’est vers 1670 que l’ancienne demeure fut transformée sous la direction du grand architecte Pierre Puget. L’Hôtel Estienne de Saint-Jean est devenu en 1932 le musée d’histoire de la Ville d’Aix-en-Provence, « Musée du Vieil Aix ».
Rue de Littera/rue Gaston de Saporta
Elle date du XIXe siècle (postérieure à 1857).
Elle faisait partie des itinéraires de procession du dimanche après-midi, ou la foule chantait des cantiques.
Statue de plâtre, elle était entièrement dorée à la feuille avant sa restauration. Des perles bleues ont été retrouvées sur le sol de la niche ce qui permet de montrer que l’on habillait les statues des oratoires.
Vierge couronnée, une croix et un coeur appendus à son cou tient un sceptre dans sa main gauche et son fils sur le bras droit, ainsi qu’une clef à son poignet gauche.
Il ne reste plus qu’un seul oratoire qui conserve encore sa lanterne.
Ce monument, construit sur l’emplacement du forum antique à partir de 1103 et, selon la légende, sur les fondations d’un ancien temple dédié au dieu Apollon, rassemble une multitude de styles architecturaux, du fait des nombreux remaniements qu’elle subit au fil des siècles. Ses dimensions sont de 70mètres de longueur sur 46mètres de largeur. Son élévation est de 20 mètres sous la clé de voûte.
De la façade, on distingue trois étapes de construction du bâtiment : tout d’abord la façade nue de la nef romane a été construite au XIIième siècle, suivie quelques années plus tard par le mur fait de blocs antiques à bossages, montés sur des lits de filasse. Le seul élément récent est le portail qui ferme la nef gothique et qui est daté du XVIième siècle.
Autour de la cathédrale sont construits au fil des siècles des bâtiments qui lui sont accolés, comme le bâtiment claustral de la communauté des chanoines, les bâtiments du cloître ou le clocher (achevé en 1425).
Baptême de Rose Cézanne, le 5 juin 1854. Obsèques de Paul Cézanne, le mercredi 24 octobre 1906 à 10h00.
Cet hôtel, célèbre par ses peintures murales et par le séjour, fut bâti vers le milieu du XVIIe siècle par le conseiller au Parlement J.-F. d’Aimar d’Albi, baron de Châteaurenard, sur l’emplacement d’un vieil immeuble qui avait appartenu au siècle précédent aux Rascas, seigneurs du Canet. Le roi Louis XIV y fit un séjour en 1660.
Dans la cour intérieure (sur la gauche de l’hôtel), il y a un escalier en trompe l’oeil réalisé par Daret (1614).
Le médaillon situé au-dessus de la porte, se trouvait sur l’ancien établissement de la Miséricorde alors qu’il était sur la place de Hôtel de Ville. Il rappelle la fondation à Aix de cette oeuvre charitable qui date de 1590.