n°3 rue Espariat
Le lys rappelle que l’Annonciation aurait eu lieu au printemps, au temps des fleurs.
n°3 rue Espariat
Le lys rappelle que l’Annonciation aurait eu lieu au printemps, au temps des fleurs.
n°5 rue Espariat
Construit par la branche de Saint Simon de la famille de Mayol connue depuis 1278, et qui se disait descendante de Saint Mayol, abbé de Cluny, mort en 994.
n°6 rue Espariat
L’hôtel Boyer d’Eguilles, progressivement restauré de nos jours, fut commencé vers 1676, sans doute d’après les plans du grand architecte provençal Pierre Puget, surnommé le Michel-Ange français, pour Madeleine de Forbin d’Oppède, veuve du conseiller au Parlement, Vincent de Boyer, seigneur d’Eguilles (1618-1659). L’hôtel fut terminé par son fils Jean-Baptiste (1645-1709), grand amateur d’art et collectionneur averti.
n°39 rue Espariat
Ou de Bonnet de Malignon, ou de Gratian, ou Féraud
Habité au XVIIème siècle par Charles de Bonnet, seigneur de Malignon, il passa ensuite dans la famille Aune. En 1780 l’immeuble fut acquis par André Féraud, architecte.
Rue Espariat/Place des Augustins
Elle date de la fin du XIXe siècle, mais reprend un modèle du XVe siècle. Elle est en pierre. Elle mesure environ 40 centimètres de hauteur. Jésus est tourné vers la Vierge.
n°10 rue Espariat
La superbe demeure du marquis Henri Reynaud d’Albertas.
L’élévation de la façade et les décors vieillissants de style Louis XIII de l’ancien hôtel de Séguiran ne répondaient plus, au temps de la Régence, au goût du marquis d’Albertas. Il fit rénover la façade en 1724, et plus tard son fils Jean-Baptiste, déplorant que l’hôtel soit encaissé dans une rue étroite, fit non sans difficulté l’acquisition des maisons qui lui faisaient face, qui furent rasées en 1745. Ce dégagement permit la création d’une place semi-élliplique à l’ordonnancement classique.